Voici mon tout premier exemplaire, envoyé par l'imprimeur pour vérification, je suis RAVIE !
ELEANOR, L'AAKEY
Roman De Marion BRIZ-ROSSI
Hello tout le monde,
J'ai écrit un roman, Fantaisie (Fantasy), cela m'a pris deux ans, que j'ai fait imprimer à mon compte.
Je vous mets des extraits ci-dessous.
Le livre est au prix de 18 € et fait 574 pages. (+9,25 € pour les frais d'expédition pour la France) soit 27,25 €
Vous trouverez le résumé et les extraits ci-dessous. Je tiens à vous prévenir que certains paragraphes sont assez érotiques, l'héroïne ayant une vie sexuelle légèrement débridée, lol
Une fois votre lecture des extraits terminée, si cela vous plaît, il vous suffira de me contacter par mail
Mon roman est disponible
Merci pour votre intérêt et votre compréhension.
Merci de me lire :)
Marion
Bonne lecture, en attendant vos réponses ♥
LE
RESUME
"Une
vie normale pour Eleanor études, famille, amis. Mais des malaises de
plus en plus fréquents lui font découvrir un destin sans pareil.
Aidée d'Amiel un être magnifique et surprenant, elle va entrer dans
un monde où les humains n'ont pas leur place. Cette nouvelle vie lui
permet de découvrir l'Amour mais aussi une sexualité débridée,
désirée ou imposée, une nouvelle famille, des êtres formidables mais
également l'horreur de la guerre et des combats. Ses capacités qui
évoluent dans ce monde de jour en jour l'amènent au bout de sa
Quête. les Elfes et le Fés ne pourront pas se passer de cette
guerrière novice mais dont les pouvoirs sont essentiels à la survie
de leur monde."
Un retour de lecture chaleureux, ci-dessous :
Pour les livres de Philippe Noël
http://la-memoire-d-absolu.
EXTRAITS DU LIVRE :
Extrait 1
COMMENCEMENT
La première chose que je vis ce furent les deux avant-bras de la
personne qui m'avait relevée, deux bras bronzés musclés et...
tatoués. Je fronçais le nez. Je n'ai jamais aimé les tatouages.
C'est une chose définitive comme la mort et qui aime la mort ? Pas
moi en tout cas. Je parcourus la surface des bras jusqu'aux manches
retroussées d'une chemise bleu pâle, puis au col duquel se dégageait
un cou aussi bronzé que puissant, surmonté d'une mâchoire carrée,
comme je les aime. Une bouche somptueuse large aux lèvres ourlées. À
ce stade de mon examen les nausées et les vertiges qui m'avaient
précipitée sur le trottoir reprirent de plus belle. Un gémissement
m'échappa,je m'effondrais, retenue in extremis par l'inconnu. J'eus
l'impression de tomber à la renverse dans un puits sans fond le ciel
éclairé par une lune ronde rapetissant à grande vitesse. Puis tout
s'obscurcit.
À mon réveil je me trouvais couchée sur un canapé, un plaid sur moi.
J'étais seule dans un grand salon. La cheminée allumée dispensait
seule, un peu de lumière. Avais-je été si glacée qu'on avait dû
mettre en route la cheminée en plein juillet ? J'entendais du bruit
dans une autre pièce. Je me redressais sur un coude, mon chemisier
était totalement déboutonné, ainsi que mon jean mon soutien-gorge
était dégrafé mais toujours sur mes seins. J'inspirais un grand
coup. Mes nausées semblaient avoir disparu. Avec précaution je
m'assis, pas de vertiges non plus, ouf. Je repoussais mes cheveux
trempés de sueur, ils collaient sur mon front et mon visage. Je
réajustais mon chemisier. Mon sauveur se découpait dans le
chambranle d'une porte comme la lumière se trouvait derrière lui, je
ne voyais que sa silhouette. Il était grand, un vrai géant. Du moins
c'est l'effet qu'il me faisait, lui debout, moi assise. Il
s'approcha avec un plateau, la lumière douce et mouvante du feu
éclaira son visage. Je poursuivis mon inspection, interrompue par
mon évanouissement. Un nez droit et de superbes yeux dont les
pupilles noires mangeaient le vert. Beau, c'était le mot que mon
cerveau, au ralenti, cherchait.
Extrait 2 :
Le
lendemain, à jeûn, je me rendis au labo. La nuit avait été horrible.
Mon cauchemar s'était subtilement modifié, pour devenir encore plus
effrayant.
Il débutait
toujours par une promenade bucolique dans des prairies vallonnées,
puis j'approchais d'une forêt, sombre, épaisse, et l'angoisse
m'étreignait la gorge. Je mettais toute ma volonté pour m'empêcher
de pénétrer sous le couvert, mais j'échouais à chaque fois.
Le vert
sombre sourdait des bois, m'enveloppait et me faisait perdre mes
repères. Où que je me tourne, il n'y avait que la végétation,
tellement dense que j'avais l'impression d'étouffer. Ensuite, du
coin de l'œil, j'apercevais une bête immonde, gigantesque, que je
n'entendais pas, mais dont le souffle, brusquement, effleurait ma
nuque.
À ce stade
tous mes poils et mes cheveux se hérissaient. J'étais incapable de
fuir, pétrifiée par l'effroi. Je tremblais, je savais, avec
certitude, que la bête allait me tuer, en m'infligeant le plus de
souffrance possible. Et c'était cela que je redoutais le plus, pas
tant de mourir que la douleur que cela allait entraîner.
C'est là, en
principe, que je me réveillais, en nage et en hurlant. Mais cette
dernière nuit, le cauchemar s'était poursuivi. Le monstre m'avait
mordue sauvagement dans le dos, arrachant une grande partie de
chair. La douleur fut intolérable. Je me réveillais en hurlant, la
douleur dans mon dos persista un long moment, m'empêchant de bouger,
décuplant mon angoisse.
Finalement
je m'arrachais à mon lit d'un bond et me précipitais en pleurs
devant le miroir triptyque de ma salle de bain, allumant toutes les
lumières au passage.
Je voulais
vérifier qu'il ne me manquait pas un grand lambeau de chair dans le
dos.
J'observais,
frissonnante, celui-ci, il était comme à son habitude, lisse sous ma
peau pâle. Je pris une profonde inspiration et je laissais libre
cours à mes sanglots.
Extrait 3 :
Quelques amies étaient venues me rendre visite. L'une d'elles me
proposa d'aller boire un verre, ce soir-là. J'acceptais, à mes
risques et périls, mais je commençais à tourner en rond dans mon
petit studio.
Je retrouvais la petite bande d'amis dans une brasserie. Installée
avec eux, je tâchais de me détendre, sans, cependant, parvenir à
intégrer une conversation.
Je laissais mon regard courir sur les autres clients. Soudain je
crus reconnaître Amiel. Mon cœur se mit à battre la chamade.
Mais non, ce n'était pas lui, il lui ressemblait, moins beau, mais
charmant. Comme je le fixais, l'homme plongea ses yeux, bleus, et
non verts, dans les miens.
Cela m'électrisa. Comme avec Amiel, je sentis mon bas-ventre
s'enflammer. Le rouge me monta aux pommettes, je tentais de
contrôler un orgasme qui montait. Et je n'étais pas la seule,
l'inconnu, en face de moi, crispa ses mains sur les accoudoirs de
son fauteuil. Ses yeux s'écarquillèrent de surprise.
Je fus certaine que nous atteignîmes la jouissance en même temps. Je
me cramponnais également à mes accoudoirs, je me mordais la joue
pour m'empêcher de haleter trop bruyamment. Rouge de honte et de
confusion, je sentis un second orgasme m'anéantir. Je ne parvenais
pas à lâcher le regard, aussi horrifié que le mien, du bel inconnu.
Je me forçais à fermer mes paupières, aussitôt le lien se brisa.
Avec un long soupir silencieux, je me laissais aller contre le
dossier. Puis, prudemment, entre mes cils baissés, je vérifiais que
personne ne m'avait vue dans cet état. L'inconnu avait déserté sa
place, ce que je concevais. Si j'avais osé, je me serais enfuie
aussi.
D'une main tremblotante, je saisis mon verre de panaché et je le bus
d'une traite. Ma gorge était aussi sèche que le désert du Kalahari,
mais ma petite culotte, elle, était trempée.
J'espère
que ces courts extraits vous inciteront à vouloir lire la totalité
du livre...
Votre
amie Marion
Vous
pouvez partager cet article sur vos blogs, vos Sites et par mail à
vos amis et famille, merci d'avance ♥
Couverture de mon Livre
J'ai été approchée par le Musée du
marque page me demandant si je voulais bien envoyer l'un de mes
marques page pour le Musée, j'ai accepté. Je suis sur le site du
Musée, vous pouvez m'y voir en cliquant sur le lien ci-dessous, vous
reconnaîtrez rapidement le mien :
http://www.lemuseedumarquepage.fr/Imprimerie/Copy.Media.1.htm
Le lien
du Musée :
http://www.lemuseedumarquepage.fr/